Le Cadre de coopération des Nations Unies pour le Développement Durable 2023-2027, signé lors d’une cérémonie organisée au siège du ministère, représente désormais l’outil de planification et de suivi des programmes et des activités des Nations Unies au Maroc, autour des objectifs de développement durable à l’horizon 2030.
Dans son allocution, le chef de la diplomatie marocaine a déclaré que « ce cadre représente une feuille de route commune dont la mise en œuvre et l’évaluation requièrent les mêmes exigences en termes d’inclusivité, de transparence et d’engagement avec pour priorité stratégique l’investissement dans la coopération Sud-Sud et triangulaire ».
Dans le même sillage, ce cadre se veut « une nouvelle ère de coopération avec les Nations Unies » a insisté le ministre, réitérant le soutien du Royaume aux réformes entreprises par le Secrétaire Général des Nations Unies en termes de développement durable.
Bourita a souligné que « les dispositions de ce cadre s’alignent sur les objectifs du nouveau modèle de développement voulu par SM le Roi Mohammed VI et ses stratégies sectorielles », notant que « Le Maroc est prêt à transmettre son expérience et son savoir à d’autres nations» dans ce registre.
A cet égard, il a fait valoir que « le Maroc a conçu une politique de coopération centrée sur le continent africain qui a eu un impact sur la sécurité et la paix dans la région », d’où la volonté du Royaume de partager ses expériences dans les domaines du développement durable avec les États africains.
« Ce qui est important ce ne sont pas tant les ressources financières mobilisées mais la valeur ajoutée de tout projet de développement sous le label onusien d’où la centralité d’un meilleur repositionnement par rapport à chaque pays dans le travail d’accompagnement », a-t-il dit.
Le chef de la diplomatie s’est dit optimiste quant à la « bonne avancée » réalisée par le Maroc dans la réalisation des objectifs de développement durable, faisant savoir que « le pays tend vers de nouvelles approches et des solutions innovantes qui vont de pair avec la conjoncture actuelle ».
Dans son allocution, le chef de la diplomatie marocaine a déclaré que « ce cadre représente une feuille de route commune dont la mise en œuvre et l’évaluation requièrent les mêmes exigences en termes d’inclusivité, de transparence et d’engagement avec pour priorité stratégique l’investissement dans la coopération Sud-Sud et triangulaire ».
Dans le même sillage, ce cadre se veut « une nouvelle ère de coopération avec les Nations Unies » a insisté le ministre, réitérant le soutien du Royaume aux réformes entreprises par le Secrétaire Général des Nations Unies en termes de développement durable.
Bourita a souligné que « les dispositions de ce cadre s’alignent sur les objectifs du nouveau modèle de développement voulu par SM le Roi Mohammed VI et ses stratégies sectorielles », notant que « Le Maroc est prêt à transmettre son expérience et son savoir à d’autres nations» dans ce registre.
A cet égard, il a fait valoir que « le Maroc a conçu une politique de coopération centrée sur le continent africain qui a eu un impact sur la sécurité et la paix dans la région », d’où la volonté du Royaume de partager ses expériences dans les domaines du développement durable avec les États africains.
« Ce qui est important ce ne sont pas tant les ressources financières mobilisées mais la valeur ajoutée de tout projet de développement sous le label onusien d’où la centralité d’un meilleur repositionnement par rapport à chaque pays dans le travail d’accompagnement », a-t-il dit.
Le chef de la diplomatie s’est dit optimiste quant à la « bonne avancée » réalisée par le Maroc dans la réalisation des objectifs de développement durable, faisant savoir que « le pays tend vers de nouvelles approches et des solutions innovantes qui vont de pair avec la conjoncture actuelle ».
